𝐋𝐚 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐮𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐏𝐨𝐢𝐧𝐭𝐞-𝐍𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐥𝐞 𝐬𝐞𝐜𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐩𝐞𝐫𝐦𝐚𝐧𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐦𝐢𝐭𝐞́ 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐥 𝐝𝐞 𝐥’𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐥’𝐄𝐭𝐚𝐭 𝐞𝐧 𝐦𝐞𝐫 𝐞𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐚𝐮𝐱 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐢𝐧𝐞𝐧𝐭𝐚𝐥𝐞𝐬 𝐥𝐢𝐞́𝐬

Déchirer le voile, au profit des acteurs du secteur privé, de l’action de l’Etat congolais en mer et dans les eaux continentales. C’est l’essence de l’accord signé, vendredi 1er mars 2024, entre la chambre consulaire de Pointe-Noire et le secrétariat permanent du comité interministériel de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales.
L’accord, paraphé par l’actuel titulaire du secrétariat Eric Olivier Sébastien Dibas-Franck et le président de la chambre Sylvestre Didier Mavouenzela, consacre une mutualisation des efforts dans le cadre de la vulgarisation des enjeux liés à la mer et aux eaux continentales. Il s’agit, par ailleurs, de favoriser l’adhésion du secteur privé aux projets et autres démarches que le secrétariat permanent du comité interministériel de l’action de l’Etat en mer et dans les eaux continentales aura à déployer.
Relais de la communication, implication dans la réflexion sur l’évolution cadre règlementaire, mise en avant des opportunités d’affaires… La chambre va jouer une partition essentielle.
Aux manettes depuis le 11 novembre 2022, le successeur de Parfait Aimé Coussoud Mavoungou veut enrayer le déficit de notoriété dont souffre sa structure. Laquelle a la tâche colossale de veiller à la protection des intérêts nationaux et stratégiques dans les domaines maritime, fluvial et lacustre.

La Société Africaine d’Ingénierie (SAFI CONGO SARL)

La Société Africaine d’Ingénierie (SAFI CONGO SARL), collège d’ingénieurs et techniciens africains de haut niveau offrant des services d’ingénierie intégrée de la conception à la réalisation et l’entretien des édifices, installations industrielles et ouvrages d’art divers.

Dans le cadre de la mise en œuvre de sos activités au Congo, elle met en place un programme de partenariat École-Entreprise dénommé SCOP, qui vise à accompagner les écoles locales dans la réalisation des formations pratiques et favoriser l’insertion professionnelle des étudiants finalistes. Pour mettre en place ce programme, SAFI CONGO SARL a prévu  sceller des accords de partenariat avec les entreprises sœurs disposant le minimum de matériel nécessaire à la réalisation de chaque formation pratique.

Pour plus de détails sur le projet,  veuillez-vous référer au fichier ci-joint   pour de plus amples informations.

Contact : Manan NDOBA NDINGA

CEO

Tél: +242 06 931 9437/+242 04 420 3516.

Avenue du Havre, zone portuaire, derrière la société SAT, Pointe-Noire, République du Congo

PND 2018-2022 : la mise en œuvre jugée globalement faible

Le rapport d’évaluation du Plan national de développement (PND) 2018-2022, rendu public le 22 septembre à Brazzaville, évoque plusieurs facteurs ayant compromis l’atteinte des objectifs assignés.

Il s’agit notamment de la faible mobilisation des ressources financières, 67%.  « Ce qui fait que beaucoup de projets n’ont pas pu être exécutés », a indiqué le coordonnateur de l’équipe des experts chargés de l’évaluation du PND 2018-2022, Bethuel Makosso.

S’agissant de l’alignement des projets dans la loi des finances, il y a eu, cependant, des activités hors PND qui ont été financées au détriment de celles prévues, a-t-il révélé.

Le rapport souligne également le manque de mécanisme de suivi évaluation, l’absence des études de faisabilité des projets et l’insuffisance des données statistiques dans plusieurs secteurs, la mauvaise identification des risques, la faible motivation des directeurs des études et de la planification de l’administration publique. Le contexte défavorable dû à la pandémie de la covid-19 n’a pas simplifié les choses.

« Malgré la stabilisation macroéconomique puis la relance économique que prévoyait le scénario, l’inverse s’est produit. La crise économique et financière de 2014 due à la chute du baril de pétrole s’est enlisée avec des conséquences réelles sur la politique budgétaire, le service de la dette, les difficultés de mobilisation des ressources pour financer le PND 2018-2022 », a regretté la ministre du Plan, de la Statistique et de l’Intégration  régionale, Ingrid Olga Ghislaine Ebouka- Babackas.

En dépit de cela, « il faut relever tout de même que le PND 2018-2022 a donné la possibilité au gouvernement d’ajuster les programmes, secteurs et sous-secteurs avec des orientations nationales qui prennent en compte des engagements nationaux », a relevé le coordonnateur de l’équipe des experts.

Au regard des faiblesses constatées, les experts recommandent que le processus d’élaboration des PND soit de plus en plus inclusif ; qu’un schéma de financement suffisamment probant soit conçu pour faire en sorte que le PND 2022-2026 soit mieux financé et concentré sur des activités porteuses. L’approfondissement des mécanismes de financement des ressources et la poursuite des réformes de finances publiques pour améliorer la mobilisation des ressources internes font aussi partie des propositions faites.

Rappelons que le PND 2018-2022, adopté et promulgué en 2018, a été mis en œuvre sur trois axes, à savoir le renforcement de la gouvernance aux plans administratif, économique, juridique, sécuritaire et politique ; la réforme du système éducatif, la formation qualifiante et professionnelle ; la diversification de l’économie, fondée sur les secteurs porteurs de croissance, notamment l’agriculture, le tourisme et l’industrie.

Lopelle Mboussa Gassia

Programme WIA 2021 : Neuf entrepreneuses congolaises sélectionnées

Basées à Pointe-Noire et Brazzaville, les neuf entrepreneuses retenues, parmi les cinq cent quarante candidates issues des cinquante-quatre Etats africains, évoluent notamment dans les secteurs de l’agroalimentaire, des industries créatives et de l’éducation.

Dans la catégorie agroalimentaire, on retrouve Mignonde Eunice Tchibinda avec sa marque Yunice care&bio spécialisée dans la vente d’épices, de produits capillaires et corporels à base de plantes naturelles ; Maryse Mfoutou Mabengue, CEO de Transnat tropic, une entreprise basée dans la fabrication de jus et vin avec des fruits locaux comme l’hibiscus, la barbadine, le corossol, la mangue, l’ananas, la mangue. Ange Jessica Loumeto-Ndounzi, fondatrice de Bio’Tropic Santé dont la mission est de sauver des vies en prévenant les maladies métaboliques telles le cancer, le diabète, les maladies cardio-vasculaires, etc., grâce à la fabrication de jus thérapeutiques 100 % naturels à base de plantes médicinales et de fruits.

Dans cette catégorie se trouvent également Edrine Samba Balandamio-Mbouka de la Manioquerie du Congo, la première boulangerie de fabrication de manioc sous différentes formes, ainsi que Séraphine Ekoa, responsable du Groupe Africadvice, une épicerie fine spécialiste du made in Congo et made in Africa.

Concernant les industries créatives, le Women in Africa (WIA) 2021 a sélectionné trois entrepreneuses congolaises, à savoir Grace Foungui, cofondatrice d’Otouh collection, une marque purement congolaise proposant une large gamme de produits allant des vêtements aux chaussures et accessoires de mode ; Jeancie Orsia Gouveia, CEO de Jeancie couture qui confectionne et propose une panoplie de tenues chics et décontractés. On compte également Cherise Opoyee Itoua Letembe, créatrice d’Esse na Tembet, des concepts puisés d’une des langues maternelles du Congo, le mbochi, et qui signifient bonheur et grâce. Sa marque de prêt-à-porter pour hommes et femmes met l’accent sur le confort, l’élégance et les détails rappelant la richesse du continent.

Dans le domaine de l’éducation, c’est Anisa Cardot Nanitelamio de la société Gofar qui est représentée. Ladite société œuvre dans la formation en ligne et en présentiel. Elle a pour mission d’aider les particuliers, entrepreneurs, startups, petites et moyennes entreprises et ONG, en mettant à leur disposition tous les services supports avec une touche de digitalisation leur permettant de décoller.

A travers leur sélection au programme WIA 2021, ces neuf entrepreneures bénéficieront d’un accompagnement global à travers la formation et le mentorat, la communication pour plus de visibilité et la mise en réseau en vue de bénéficier d’appui financier.

Lancé en 2017, le programme WIA est né pour soutenir et encourager l’entrepreneuriat féminin en Afrique. Lors des éditions précédentes, il a offert à cinquante-quatre entrepreneures africaines provenant de cinquante-quatre pays du continent un accompagnement pour impulser leurs entreprises. En 2021, WIA déploie son plan 2030 et multiplie par 10 le nombre de bénéficiaires. « Cette année, avant de procéder à la nomination en octobre des cinquante-quatre  lauréates et neuf révélations incarnant le meilleur du continent, le jury a réalisé une première sélection de dix finalistes par pays. Ainsi, cinq cent quarante candidates bénéficieront d’une formation et d’un accompagnement, une initiative qui s’inscrit dans l’objectif de soutenir plus de dix mille femmes entrepreneuses et de participer indirectement à la création de cent mille emplois d’ici 2030 », a souligné Hafsat Abiola, présidente de WIA.

Merveille Jessica Atipo

Cybercriminalité : la sécurisation des données, un défi majeur pour les Etats

Avec le recours accru aux technologies de l’information et de la communication, la question relative à la cybersécurité représente un grand enjeu pour la société.

L’intérêt de sensibiliser les institutions et les entreprises sur le sujet puis d’apporter des solutions concrètes visant à favoriser l’inclusion de la culture de la cybercriminalité s’est traduit par la tenue, du 16 au 17 septembre à Kintélé, du forum Brazza cybersécurity. Ce colloque a été organisé par la société Skytech sur le thème « La cybersécurité, un enjeu stratégique pour les Etats, les entreprises et institutions en Afrique. »

« Nous avons mis en avant les grands leaders et experts de la Tech, de la cybersécurité et nos hautes institutions pour partager leurs connaissances et leurs avis sur les questions de cybercriminalité en Afrique, leurs solutions en matière de protection de données, d’émergence technologique et de transformation digitale », a indiqué le promoteur dudit forum, Arnaud Aken Elion.

Intervenant à cette occasion, le ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Léon Juste Ibombo, a fait savoir que dans le monde, les dommages causés par la cybercriminalité ont été estimés à plus de  600 milliards de dollars, soit 1% du produit intérieur brut mondial détourné. En 2020, les attaques sont passées de 1 200 en début d’année à plus de 380 000 au mois d’avril.

Au regard de cette réalité, « la cybersécurité peut être considérée comme un outil indispensable et doit s’imposer dans la stratégie globale de gouvernance. Il importe donc aux Etats d’adapter les outils juridiques permettant de lutter contre ce fléau », a souligné Léon Juste Ibombo.

A noter que Skytech-Congo est une société qui œuvre dans le domaine de la cybersécurité, des systèmes de sécurité électronique et solaire, des télécommunications et informatique.

Lopelle Mboussa Gassia

Journée africaine de la technologie sur fonds de l’entrepreneuriat

Les inventeurs, innovateurs, centres de recherche, universités ainsi que tous les opérateurs économiques et responsables des PME/PMI en République du Congo sont invités à participer à la mise en place d’une plateforme afin de donner une impulsion au développement du pays.

Le ministre du Développement industriel et de la Promotion du secteur privé, Nicéphore Fylla de Saint-Eudes, a lancé l’appel à l’occasion de la célébration de la 22e journée africaine de la technologie et de la propriété intellectuelle, le 13 septembre, sur le thème « Propriété intellectuelle, innovation et développement des entreprises en Afrique ».

« Le choix de ce thème prend également son sens dans le cadre de la diversification de l’économie congolaise dont le développement des PME-PMI constitue une composante importante », a déclaré le ministre du Développement industriel.

« Le gouvernement ne ménage aucun effort à l’effet d’encourager toute initiative publique ou privée, dont le but est la création et le développement d’entreprises et d’industries par l’utilisation stratégique et efficace de la propriété intellectuelle », a-t-il laissé entendre.

Notons que de nombreuses études ont démontré que les grandes entreprises dans le monde sont celles qui ont fait de l’utilisation stratégique de la propriété intellectuelle et de l’innovation la pierre angulaire de leur développement et de leur compétitivité.

Lopelle Mboussa Gassia

Diaspora : Entreprendre et investir au Congo

Dans la continuité de la mission gouvernementale conduite en France par le Premier ministre, Anatole Collinet Makosso, Jacqueline Lydia Mikolo, ministre des Petites et moyennes entreprises (PME), de l’Artisanat et du Secteur informel, en partenariat avec les Ateliers citoyens congolais, délègue son directeur de cabinet auprès des Congolais de l’étranger pour la poursuite de discussions techniques et sectorielles.

À la quête de compétences de l’entrepreneuriat au sein de la diaspora, et en tant qu’ancien membre de la communauté congolaise de France, Prince Bertrand Bahamboula, directeur de cabinet du ministère des PME, de l’Artisanat et du Secteur informel, a animé une rencontre technique en respect de la perspective d’accompagner la vision du chef de l’État, Denis Sassou N’Guesso, d’ouvrir le Congo à l’international.

Cette ouverture passe par l’implication des Congolais de l’étranger. Auprès de ses compatriotes, répondre à la série de questionnements : Comment créer une entreprise ? Comment inciter les Congolais à créer ? Comment mettre à disposition un guichet unique relatif aux informations sur les démarches de création des entreprises accessibles à tous ?

Cet événement, intitulé “Entreprendre et investir au Congo / Le FIGA, une opportunité pour la diaspora congolaise “, s’est déroulé le 11 septembre à Paris-Montrouge, en respect scrupuleux des règles sanitaires, en présence de Léon Juste Ibombo, ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie numérique, de passage à Paris; des entrepreneurs congolais et des présidents d’associations, tous désireux d’obtenir l’attractivité du Congo dans sa politique de diversification économique.

Quoique technique, il est important de rappeler que la destination Congo, de par son positionnement géographique, offre un environnement favorable aux investisseurs. La législation congolaise crée un climat favorable pour la diversification de l’économie voulue par le président Denis Sassou N’Guesso afin de permettre de rétablir l’Etat de droit, construire une administration performante et créer des institutions efficaces. Le ministère des PME, de l’Artisanat et du Secteur informel a mis en place des dispositifs, tant dans les zones spéciales que dans l’accompagnement tel que le Projet d’appui à la diversification économique de la Banque mondiale, dans le cadre d’un partenariat technique pour soutenir les PMI et PME congolaises dans leurs démarches entrepreneuriales.

Concrètement, il s’agissait, pour le directeur de cabinet, de passer en revue les dispositifs d’appui existants dans son ministère, encore méconnus des Congolais de l’étranger, afin de les sensibiliser et les mobiliser aux avantages des dispositifs d’accompagnement entrepreneurial. En retour, susciter des échanges et des débats d’une manière contributive en rapport aux besoins et aux attentes de la diaspora si nécessaire.

Parmi l’accès au crédit se révélant l’un des freins, du fait de la demande de garanties du prêt, du coût élevé et de sûretés réelles, il a souligné combien son ministère s’appuie sur le Fonds d’impulsion de garantie et d’accompagnement, FIGA. Cet outil a été présenté comme la possibilité d’une assistance directe aux entreprises en création, en reprise d’activités ou en développement, confrontées aux problèmes d’accès aux ressources financières, matérielles et immatérielles.

Cette rencontre a permis à Edwige Yombi Sitou, EMS Négoces, et Clenne Mouangou, qui a fondé CM Agrobusiness, une société d’élevage de porcs au Congo, de parler des expériences respectives de leurs entreprises, en France et au Congo.

Face au foisonnement d’investisseurs de la diaspora, Prince Bertrand Bahamboula, en respect de la feuille de route de sa ministre de tutelle mise en place pour les six mois à venir depuis la prise de ses fonctions, s’est engagé à suivre et accompagner une dizaine d’entre eux. « Nous partons sur l’existant…Si nous pouvons faire aboutir au succès une ou deux entreprises de la diaspora, nous aurons réussi ! », a-t-il confié.

Marie Alfred Ngoma

Légendes et crédits photo : 

Photo : Une des séquences de la rencontre économique à Paris Montrouge, “Entreprendre et investir au Congo”, le 11 septembre 2021

Cémac : un observatoire pour améliorer le climat des affaires au Congo

Le commissaire en charge du département des politiques économiques, monétaires et financières de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac), Clément Bélingaba, a annoncé, l’installation au Congo d’un point focal de l’observatoire pour l’amélioration du climat des affaires.

L’annonce a été faite à l’issue d’une récente audience entre la délégation de la Cémac conduite par Clément Bélingaba et le ministre des Finances, du Budget et du Portefeuille public,  Rigobert Roger Andely. L’initiative s’inscrit dans le cadre du projet de mise en place d’un Observatoire du climat des affaires en zone Cémac.  

« En ce moment, nous parcourons les six pays de la zone Cémac pour installer les points focaux de l’observatoire pour l’amélioration du climat des affaires. Les échanges avec le ministre en charge des finances ont porté sur l’importance que nos chefs d’Etat accordent à l’amélioration du climat des affaires qui est une nécessité pour développer le secteur privé et favoriser l’emploi », a indiqué Clément Bélingaba.

Et de poursuivre : « Pour permettre à cette structure de commencer ses activités, un pack matériel informatique composé d’un ordinateur de bureau, d’un ordinateur portable et d’une imprimante multifonction couleur a été mis à sa disposition. Cela leur permettra de mener à bien leurs objectifs ».

A en croire les propos de Clément Bélingaba, la mission qu’il effectue dans les six Etats de la zone Cémac est voulue par les chefs d’Etat en vue de booster les économies de la sous-région. En effet, l’amélioration du climat des affaires, au profit des investisseurs privés, inclut les principaux indicateurs ci-après : l’équité de la justice dans les règlements des contentieux au tribunal du commerce, la baisse des coûts de production pour faire face à la compétitivité, la baisse des coûts de l’électricité, l’entretien des routes pour la fluidité du transport des produits, la baisse des coûts du carburant et l’élimination de la corruption.

Gloria Imelda Lossele
 
 

Légendes et crédits photo : 

Le ministre Rigobert Roger Andely et Clément Bélingaba / DR

Rencontre avec le 1er Ministre du Congo Brazzaville, le jeudi 26 Aout 2021 de 10h00 à 13h00

La CCI Paris Ile-de-France et son Comité d’Echanges Afrique – France vous convient le

26 août 2021 à un événement organisé à l’occasion de la venue de Monsieur Anatole Collinet Makosso – Officiel, Premier Ministre Congolais, à Paris.

Cet événement exceptionnel se tiendra en présentiel au siège de la CCI Paris Ile-de-France*, au 27 avenue de Friedland, de 10h à 13h. 

Le Premier Ministre du Congo sera accompagné de la plupart des Ministres de son gouvernement** et témoignera de la diversification de l’économie congolaise et la manière dont les entreprises françaises peuvent y trouver des opportunités et l’accompagner.

Un cocktail de networking est prévu à l’issue de cette intervention afin d’échanger avec Monsieur Collinet Makosso et les ministres de son gouvernement.

Il sera également possible d’organiser des rendez-vous individuels, sous réserve d’acceptation et de disponibilité. Merci de faire la demande via ce lien http://cciparisidf.fr/rencontre-1er-ministre-congolais

Pour réserver votre participation à l’événement, merci de compléter rapidement le formulaire d’inscription (nombre de places limité).

Mesure #covid19 : conditions d’accès au site de la CCI Paris Ile-de-France : présentation du pass sanitaire à l’entrée ou test PCR négatif de moins de 72h.

**Ministre des affaires étrangères, de la francophonie et des congolais de l’étranger – Ministre des  finances, du budget et du portefeuille public – Ministre de la coopération internationale et promotion des partenariats publics privés – Ministre du développement industriel et promotion du secteur privé – Ministre PME, artisanat et secteur informel – Ministre des transports, de l’aviation civile et de la marine marchande –  Ministre de la communication et des médias – Ministre de l’environnement, du développement durable et du bassin du Congo – Ministre des zones économiques spéciales et de la diversification économique